Marie-Agnès Salehzada accueille le poète James Sacré autour du recueil paru en 2016 : Figures qui bougent un peu et autres poèmes paru aux éditions Gallimard. D’origine vendéenne, Il est d’abord instituteur puis itinérant agricole,il part  vivre aux Etats-Unis en 1965, il  fait également de nombreux séjours à l’étranger. En 2001, il s’installe à Montpellier. James Sacré écrit depuis l’âge de 12 ans, et publie sa première plaquette en 1965. Une  écriture ancrée dans la ruralité,  l’enfance dans le monde paysan et la nature. Mais  lorsqu’ il dépeint ce monde paysan, il dit que c’est aussi une façon de s’adresser au monde paysan contenu en chacun de ses lecteurs La langue de l’écrit s’impose à lui tel un matériau à façonner, trituré de façon à faire émerger de nouvelles formes. Ses poèmes se présentent  telle une recherche  autour de l’écriture, il  dit : «  Je mélange l’insignifiance avec les mots, j‘aime que cela fasse un poème » ……
Jardin d’Isis : Marie-Agnès Salehzada reçoit James Sacré – Figures qui bougent un peu et autres poèmes – Gallimard

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un commentaire sur “Jardin d’Isis : Marie-Agnès Salehzada reçoit James Sacré – Figures qui bougent un peu et autres poèmes – Gallimard

  1. Merci, Marie-Agnes Salehzada,c’est beau d’ouvrir ainsi à tous la page du poème. Une odeur de paille mouillée et de souvenir d’enfance, de souvenir de poète à sept ans qui court, court, court … Court-il après la vie pour rattraper l’espérance ?Ou court-il de toute la force de ses petites jambes pour échapper à à la morne-mort de l’âge adulte ? C’est la question à laquelle une éternité de poèmes ne pourra jamais répondre. Mais nous continuerons d’exprimer la poésie. Outre un beau nom, James Sacré a une belle voix de poète.

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