Comme invité Alain Lasverne, romancier, poète, nouvelliste, qui a effectué des études de sociologie, de communication/édition et a principalement exercé le métier d’enseignant dans les Yvelines, après diverses tentatives en tant que représentant, formateur en insertion, pigiste pour le Moniteur BTP et la Gazette des Communes, entre autres. Il écrit avec continuité depuis Juillet 89, ses publications : -Un roman jeunesse publié chez feu Cylibris, Trois romans adultes :-Je sauverai le monde (ed. Kyklos – 2009),-Web voyage (ed. ELP – 2014),-Présences, publié chez Douro Ed. En 2022.Également en 2022, Si la guerre ne meurt, recueil de poésies, chez Inclinaison. Parmi les parutions de ces deux dernières années, il compte nouvelles et poésies publiées dans différentes revues.- Je le reçois principalement autour du recueil de poèmes dont le titre est : « Si la guerre ne meurt » Il nous dit: « La guerre comme un avenir stationné pour le moment en Ukraine. Comme une attente d’événement. La guerre là-bas vit ici comme un accident de la route. Nous la contemplons derrière nos écrans. C’est l’avenir qui nous obsède. L’Ukraine comme proxy de nos avenirs possiblement enterrés dans la guerre généralisée. Peur.La guerre est un fantasme ici. Une réalité, là-bas. Nous sentons sa puissance et sa gloire sombre. Nous sentons une injection et ne pouvons y répondre, sauf par la parole qui dévoile, exorcise.
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