un commentaire sur “Traces de lumière : Arthur Rimbaud, Le mal de la guerre et de la religion”
Merci Christian Malaplate, poète de Montpellier, pour ce grand coup de chapeau noir au plus singulier des enfants poètes. Mais, entre-nous, devant cette horreur si singulière du monde que pouvait-il faire d’autre que d’aller prêcher dans le désert ?
Merci Christian Malaplate, poète de Montpellier, pour ce grand coup de chapeau noir au plus singulier des enfants poètes. Mais, entre-nous, devant cette horreur si singulière du monde que pouvait-il faire d’autre que d’aller prêcher dans le désert ?