un commentaire sur “Arrêt aux pages : Nathalie Bouly rencontre Marc Devaux”
J’ai bien aimé cet ouvrage qui parle de la vie fébrile d’un grand hôtel au bord du lac du Bourget, fréquenté par la haute bourgeoisie, sous les yeux d’un enfant. On pourrait en faire un film. La petitesse des grands bourgeois, le courage du personnel , un restaurant où comme dans l’amour fou d’ André Breton : » il n’y a que le plongeur qui ait très intelligent ». L’enfant regarde le monde absurde des adultes et il se demande si tout cela a un sens. Il ne sait pas encore, douloureux constat du dernier Shakespeare que tout n’est que » a tale told by an idiot, full of sound and furry, signifiing nothing ». Et pourtant monde est la fois aussi beau que fou. Il faut vivre avec et ne garder en témoignage que le regard d’un enfant au bord du lac sous l’étonnant soleil estival.
J’ai bien aimé cet ouvrage qui parle de la vie fébrile d’un grand hôtel au bord du lac du Bourget, fréquenté par la haute bourgeoisie, sous les yeux d’un enfant. On pourrait en faire un film. La petitesse des grands bourgeois, le courage du personnel , un restaurant où comme dans l’amour fou d’ André Breton : » il n’y a que le plongeur qui ait très intelligent ». L’enfant regarde le monde absurde des adultes et il se demande si tout cela a un sens. Il ne sait pas encore, douloureux constat du dernier Shakespeare que tout n’est que » a tale told by an idiot, full of sound and furry, signifiing nothing ». Et pourtant monde est la fois aussi beau que fou. Il faut vivre avec et ne garder en témoignage que le regard d’un enfant au bord du lac sous l’étonnant soleil estival.